"La nouvelle m’a frappé comme un coup de foudre.
L’art est en deuil, la beauté est en deuil, la gentillesse est en deuil.
Il était comme un coup de pinceau dans le ciel.
Il avait résolu ce problème qui se pose à tous les artistes : comment s’exprimer avec profondeur, sans jamais peser, avec légèreté.
Qu’il était léger, qu’il était modeste, alors qu’il avait tant de talent … les instants que j’ai passés avec lui étaient comme une parenthèse de grâce pure.
Je ne l’ai pas vu souvent, mais je l’aimais comme un vieil ami, comme le pays de mon enfance que jamais personne n’a peint aussi bien que lui.
Ils me manqueront ensemble."
Claude d'Anna, février 2015
Bouquets et natures mortes
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